top of page

SA Change
Now
 

Faut que ça change, cette culture du viol à l’Université Sainte-Anne, maintenant.

 

Change the rape culture at our Nova Scotia university, Université Sainte-Anne, now.

Jour après jour, récit après récit, incident après incident, et vignette après vignette, les exemples de la culture du viol à notre micro-université nous consternent, nous dégoûtent et nous choquent. Faut que SA change maintenant / SA change now exhorte le recteur, Allister Surette, à reconnaître publiquement l’existence d’une culture du viol à l’Université Sainte-Anne, à s’excuser auprès des victimes et des survivant.e.s de cette culture du viol, et à promettre de mettre en place les cinq réformes recommandées par la campagne (appuyées par plus de 800 signatures de pétition qui ne cessent de se multiplier).

Day after day, account after account, incident after incident, and vignette after vignette, the examples of the rape culture at our microuniversity appall, disgust, and shock. Faut que SA change maintenant / SA Change Now is calling on the Rector, Allister Surette, to publicly acknowledge the existence of a rape culture at Université Sainte-Anne, to apologize to the victims and survivors of this rape culture, and to promise to institute the campaign’s five recommended reforms (supported by more than 800 petition signatures and counting).

Traumvertissement

De 2018 à la fin de 2019, un seul et même étudiant, qui travaillait comme agent à la sécurité étudiante, a violé au moins 17 étudiantes. Il effectuait ses rondes seul chaque soir de fête sur le campus et suivait les filles ivres qui rentraient du bar ou se frayait tout simplement un chemin jusqu’à leurs chambres pour les violer. Il laissait même une marque distinctive sur ses victimes. L’université a été avisée à plusieurs reprises par plusieurs personnes, dont certaines des victimes, de ces incidents. L’étudiant a fini par garder son emploi et n’a même pas été interrogé. La population étudiante n’a jamais été informée de la présence d’un violeur en série sur le campus.

Trigger warning

 

From 2018 to the end of 2019, a single perpetrator, while working as a student security officer, raped at least 17 students. He would go on his rounds alone each night when there was a big party on campus and follow drunk girls home from the bar or just make his way into the rooms and rape them. He even left a distinctive mark on his victims. The university was made aware several times by several people, including some of the victims. The student ended up keeping his job and was never even questioned. The student population was never informed there was a serial rapist on campus.

bottom of page